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Cette situation paraît sans issue, que faire ?

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Un temps déjà que vous essayez de vous en sortir. Ce qui vous pousse à vous questionner sur l’existence même d’une quelconque solution. C’est un peu légitime; surtout que vous êtes vraiment sûrs d’avoir épuisé tous les recours. Cependant, il est nécessaire d’attirer votre attention sur le fait que vous avez peut-être omis de faire une chose, ce qui se présente comme une très bonne nouvelle. La victoire ne vient pas parce que nous nous sommes évertués à combattre sur un seul front, alors que nous sommes combattus sur des fronts multiples. Cette réalité renversera votre situation. Si vous aviez trop souvent essayé sans Dieu, cet appel vous revient. Dans cet article, nous vous proposons trois actions susceptibles de mettre hors-jeu les tenailles.

Aller à Dieu.

Le temps n’est plus aux vains discours mais à l’exploration, ce qui nous donnera de trouver le vrai repère, Dieu. Nous devrions savoir que nous n’avons rien à perdre. Pour dire qu’il ne faut traîner les pas en allant vers Lui. A défaut, Il nous appelle à Lui: « Venez à Moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et Je vous donnerai du repos » (Matthieu 11.28 LSG). Ce texte reflète l’une de nos motivations. Nous cherchons à avoir le repos. Si seulement nous avions eu à cœur d’aller à Dieu plus tôt. Cependant, nous nous sommes débattus jusqu’à être fatigués, ce qui ne fait que nous qualifier pour cet appel au repos, d’autant que Dieu est prêt à traiter avec nous une alliance qui a pour vertu de faire perdurer Ses faveurs dans nos vies (Esaïe 55.3 LSG). Un revirement est donc nécessaire. Il faut d’abord que nous arrivions à accepter que jeter les armes n’est pas la solution. Toutefois, aller à Dieu n’est qu’une des actions à poser.

Croire en Dieu.

Maintenant que nous avons place entre les mains de Dieu, il ne nous reste plus qu’à croire en Lui. Il arrive que la peur continue à nous enfermer dans la paralysie, une stratégie souvent utilisée par l’ennemi contre nous. Mais Jésus dit: « Que votre cœur ne se trouble point. Croyez en Dieu et croyez en Moi » (Jean 14.1 LSG). Croire, c’est mettre notre foi en exercice. Et il n’y a pas plus que la Bible pour nous décrire la nature de la foi. D’ailleurs, l’auteur de l’épître aux Hébreux nous parle en ces termes: « Or la foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas. Pour l’avoir possédée, les anciens ont obtenu un témoignage favorable » (Hébreux 11. 1,2 LSG). Ce qui permet de mettre au clair la pensée de Paul: « Réjouissez-vous en espérance » (Romains 12. 12 LSG). Croire, c’est aussi avoir la joie dans des situations où les autres sont en pleurs. Ce qui nous ramène à nous fier au Seigneur pour la solution. Parce que justement le combat n’est plus nôtre. Il nous faut donc aller à Dieu, croire en Lui mais il en reste une.

Recevoir de Dieu.

Dieu ne fait jamais dans la demi-mesure. Voilà pourquoi il est bien plus bénéfique de recevoir de Lui que de quiconque. En effet, de la bouche de Jésus nous entendons ceci: « Je ne vous donne pas comme le monde donne » (Jean 14. 27b LSG). C’est vraiment soulageant d’avoir cette assurance de la part de Dieu. Au fait, il y a bien des gens de qui nous n’aimerions jamais rien recevoir. Parce qu’ils donnent à la manière du monde, sans amour, poursuivant des gains sordides. Ils donnent aux antipodes des valeurs bibliques. Dieu personnifie l’amour dans Ses dons, Il ne cherche point Son intérêt (1 Corinthiens 13. 5b LSG). Et avec Dieu, même les souffrances nous sont bénéfiques: « Car nos légères afflictions du moment présent produisent pour nous, au-delà de toute mesure… » (1 Corinthiens 4. 17 LSG). Ainsi, nous recevons au-delà de nos attentes, de nos espérances. Ce qui nous réconforte le plus est que son secours ne manque jamais dans les jours les plus noirs (Psaumes 46. 1 LSG). Nous devons donc aller à Dieu, croire en Lui et recevoir de Lui la bénédiction qu’Il tient tant à nous offrir.

Allant à Dieu, croyant en Dieu et recevant de Lui. Combien bénis sommes-nous ? Mais nous ne pouvons terminer sans vous exhorter à ne pas garder le silence. Dieu poursuit une édification au travers de votre vie, lorsqu’un miracle se produit au bon vouloir de Dieu. Il le fait pour Sa gloire et notre édification. Un témoignage peut sortir quelqu’un de l’angoisse. Si Dieu a fait en sorte que vos tenailles se desserrent, c’est surement un signe pour votre entourage. Il y en a qui croient que leur problème est un peu gros pour Dieu. Parlez de votre problème qui a surpassé le leur ! C’est ainsi qu’au lieu de dire: « je suis pris aux tenailles », je dirais: « j’étais pris aux tenailles » mais Dieu est intervenu.


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1 comment

  1. J’encourage vivement l’oeuvre de Fréquence Chrétienne dans l’avancement du royaume. J’aime particulièrement cet article , je prie pour que jamais Pasteur Dukens tu sois en panne d’inspiration divine. Que le St Esprit te soit en aide

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