Le cerveau humain est une véritable énigme. Sais-tu que quelles que soient les activités que nous faisons quotidiennement, nous n’en utilisons que 35% ? Il demeure 65% de zone d’ombre jamais encore exploitée, jamais encore explorée, si ce n’est par des génies qui l’ont un tant soit peu grappillée. Au final, aucun homme, si ce n’est Jésus n’a à ce jour exploité cet organe-là à pleine puissance, et c’est là où réside un des mystères de la foi. Surtout lorsqu’on se rend compte des conséquences qu’un fruit mangé a eu sur l’humanité dans son absoluité, quand on se rend compte qu’à cause du péché nous avons été réduits à 35% de ce que nous sommes réellement depuis la création.
C’est donc ces 65% qu’est venu nous apporter le Christ, en nous révélant notre identité céleste. C’est pour cela qu’il est écrit dans Jean 8 : 32 (LSG) « Vous connaitrez la vérité, et la vérité vous affranchira. »
C’est ainsi qu’étant la vérité, Jésus nous ouvre le chemin de la vie, une vie dont on acquiert les connaissances adéquates à travers des séances de rééducations perpétuelles avec Celui qui est censé nous révéler les mystères cachés de ces 100 % reconstitués.
Et pendant ces périodes d’apprentissage, il peut arriver que nous soyons confrontés à des moments de tribulations où l’on en vient à se demander qui l’on est, où nous en sommes, et quel but nous poursuivons ici-bas ? C’est pour cela que par le biais de cet article nous nous évertuerons de donner quelques clés qui nous aiderons à sortir de ce traquenard.
Repens-toi.
Luc 15 : 7 (LSG) « De même, Je vous le dis, il y aura plus de joie dans le ciel pour un seul pécheur qui se repent, que pour quatre-vingt-dix-neuf justes qui n’ont pas besoin de repentance. »
Nombreux sont ceux qui peuvent se demander: Mais quel rapport peut bien avoir une crise identitaire avec la repentance ? La vérité est que le fait d’être passé outre l’une a fini par nous conduire de façon insidieuse, vers l’autre. Parfois on se retrouve à ne pas savoir où l’on en est, qui l’on est parce qu’on n’a pas voulu reconnaître un péché que l’on sait pertinemment avoir commis. On ne parle pas, soit par honte, par culpabilité, par entêtement ou manque de sincérité qui sont en fait des manipulations de l’ennemi de notre âme. On se sent mal, on a l’impression de dépérir à l’intérieur de nous-mêmes, d’exister mais pas de vivre. On se languit de la présence de Dieu, qu’on l’admette ou pas, mais pourtant c’est ce qui nous arrive, sauf que nos cœurs sont tellement endurcis qu’on a du mal à percevoir Sa voix, car Lui ne cesse jamais de nous appeler.
Ouvre ton cœur.
1 Pierre 5 : 7 (LSG) « Et déchargez-vous sur Lui de tous vos soucis, car Lui-même prend soin de vous. »
Matthieu 11 : 28 (LSG) « Venez à Moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et Je vous donnerai du repos. »
Nous sommes nombreux à percevoir Dieu comme Il n’est pas en réalité. Et toi, comment Le perçois-tu ? Si on Le voit comme une sorte de bourreau despotique qui nous aime certes mais qui au moindre de nos péchés ne cesse de nous censurer, en nous le rabâchant constamment et que quand bien même ayant accepté Jésus, nous continuons à vivre dans la peur de l’enfer et donc de la mort, c’est qu’il y a un problème quelque part.
Dieu ne nous juge pas, Il ne nous condamne pas, et Il ne nous délaisse pas. Nous nous infligeons du mal à nous-mêmes, car le péché est une punition en soi. De ce fait, même si tu as honte ou autre, dis tout de même à Dieu ce que tu as sur le cœur, répands devant Lui ton ressenti, et au final tu y verras plus clair dans ce brouillard émotionnel et spirituel qui te semblait jusqu’alors sans fond.
Lâche prise.
Proverbes 3 : 5- 6 (BDS) « Mets ta confiance en l’Eternel de tout ton cœur, et ne te repose pas sur ta propre intelligence. Tiens compte de Lui pour tout ce que tu entreprends, et Il te conduira sur le droit chemin. »
Psaumes 18 : 31 (LSG) « Les voies de Dieu sont parfaites, la Parole de Dieu est éprouvée; Il est un bouclier pour tous ceux qui se confient en Lui. »
Suivre Dieu n’est pas facile, surtout si on compte plus sur nos propres compétences que sur Lui. A quoi cela sert-il de se culpabiliser, de toujours s’autocritiquer, de toujours vouloir contrôler absolument tout, de s’entêter? Cela ne sert à rien. On finit par se retrouver dans une sorte de cercle vicieux, à vivre dans la peur de rechuter à nouveau face aux épreuves. On ne profite même pas de notre vie en Christ, on ne se réjouit pas, on ne vit plus, tout cela à cause d’un manque d’abandon total. Alors lâchons prise !
Dieu ne nous a accordé qu’une vie, alors profitons-en. Il nous a confié également des œuvres mais Il n’a jamais voulu qu’elles deviennent pour nous des prisons, ainsi soyons en joie, respirons.
Demande à Dieu de te libérer de tout ce poids qui t’empêche d’avancer, et de voir qui tu es, de vivre, de te réjouir en cette semaine mon ami(e) du bout du monde.