Romains 8 : 38-39 (LSG) « Car j’ai l’assurance que ni la mort ni la vie, ni les anges ni les dominations, ni les choses présentes ni les choses à venir, ni les puissances, ni la hauteur, ni la profondeur, ni aucune autre créature ne pourra nous séparer de l’amour de Dieu manifesté en Jésus-Christ notre Seigneur. »
À ceci j’aimerais ajouter, ni les pandémies, ni aucun plan de l’ennemi ne pourront nous soustraire de l’amour de Dieu manifesté en Jésus-Christ notre Seigneur. Avant que nous n’acceptions Jésus, Il nous aimait déjà, que nous priions ou non, que nous Le connaissions ou pas, Il nous aimait déjà. Que nous Le cherchions ou pas n’empêchait aucunement que Ses bontés se renouvellent dans nos vies chaque matin.
Car l’amour de Dieu pour nous, envers nous est immuable, invariable, il ne dépend pas de ce que nous croyons ou non, il date de bien avant la création du monde. Il nous a aimés le premier, c’est pour ça qu’Il s’est donné pour nous sans rien exiger de nous.
Qui est capable d’aimer à ce point, de s’humilier, de s’émouvoir ainsi, alors qu’injustement on L’a longtemps dénigré, alors qu’Il fut terriblement méprisé lors de Son passage sur terre ? Eh bien Jésus !
La puissance de la croix.
Esaïe 53 : 5- 6 (LSG) « Mais Il était blessé pour nos péchés, brisé pour nos iniquités; le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur Lui, et c’est par Ses meurtrissures que nous sommes guéris. Nous étions tous errants comme des brebis, chacun suivait sa propre voie; et l’Éternel a fait retomber sur Lui l’iniquité de tous. »
Je ne sais pas toi, mais à chaque fois que je lis tout ce chapitre d’Esaïe, je suis traversé de frissons et je ne sais plus où me mettre à force. Combien sommes-nous dans ce cas, lorsque l’amour de Dieu nous transperce de plein fouet ? En vérité, tout s’est déroulé ce jour-là, illustré ci-dessus, plusieurs siècles auparavant, qui ont mené à cet instant de l’accomplissement où nous avons reçu en Lui toute plénitude. Jésus-Christ a rendu tout parfait pour nous, de sorte qu’en invoquant Son nom, comme ce fut le cas à la croix, aucune maladie, épidémie, pandémie ne puisse Lui résister.
Car Il a crucifié cette dernière pour nous, l’a ensevelie pour nous et est ressuscité le troisième jour de sorte à nous mettre hors d’atteinte pour l’éternité. Il n’y a rien qu’on ne puisse trouver en invoquant son nom, Il n’y a rien que l’on n’ait pas reçu par Son œuvre à la croix, car Il a si bien dit à cet instant-là: « Quand Jésus eu pris le vinaigre, Il dit: Tout est accompli. Et, baissant la tête, Il rendit l’esprit. » Jean 19 : 30 (LSG).
Oui tout est accompli, il n’y a donc pas de raison que tu ne sois pas guéri; il te suffit de saisir Sa main et de croire.
Jésus l’homme de Galilée.
Matthieu 20 : 30-34 (LSG) « Et voici deux aveugles, assis au bord du chemin, entendirent que Jésus passait, et crièrent: aie pitié de nous, Seigneur, Fils de David ! La foule les reprenait, pour les faire taire; mais ils crièrent plus fort: aie pitié de nous, Seigneur, Fils de David ! Jésus s’arrêta, les appela, et dit: que voulez-vous que Je vous fasse ? Ils Lui dirent: Seigneur, que nos yeux s’ouvrent. Ému de compassion, Jésus toucha leurs yeux; et aussitôt ils recouvrèrent la vue, et Le suivirent. »
Dieu serait-Il insensible à nos peines ? Ça jamais ! Une petite confidence entre nous; Dieu est comme une mère poule qui à la moindre blessure accourt auprès de ses petits. Il palpe notre corps, notre cœur, notre âme et esprit pour voir si tout va bien. Il ne détourne jamais Son œil de nous. C’est ce que nous pouvons observer lors du ministère de Jésus sur terre; lorsqu’on Lui annonça la mort de Lazare, Il en fut ému. Il attendit des instructions du Père et juste après on sait quel miracle se fit; Il ressuscita Lazare !
On peut encore parler de l’homme incrédule qui vint Le voir, pour qu’Il délivre et guérisse son enfant possédé, muet et sourd (Marc 9 : 25-27), de cet homme à qui Il put dire: lève-toi et marche dans Jean 5 : 6-9, ou encore de la femme à la perte de sang qui rien qu’au toucher de Son habit reçut la guérison (Matthieu 9 : 20-22). Que dire aussi de ce jour où avec juste de la bout à la salive, Il rendu la vue à cet aveugle (Jean 9 : 1-11) !
Il n’y a rien que Jésus ne puisse pas faire pour toi, mon ami(e) du bout du monde, absolument rien qui puisse résister face à Lui. Jésus est la solution à la crise actuelle que vit le monde ! Pour L’invoquer, pas besoin de formule magique: juste dire Jésus nous avons besoin de Toi, de tout notre cœur suffit. Il interviendra assurément; Il le fait toujours.
Sur ce, bonne fin de semaine à tous, courage au personnel hospitalier, courage aux personnes atteintes et alitées, courage à tous ceux qui sont actuellement confinés, force à nos présidents et à nos gouvernements.
Reçois tout mon amour et toutes mes prières. Dieu nous aime infiniment !
Amen ! Sois bénie