« Une faute avouée est à moitié pardonnée » dit-on souvent à nos enfants, afin de leur inculquer dès le bas âge une éducation les poussant à nous dire la vérité. Il en est de même avec l’Eternel qui est notre Père bien-aimé, nous tous constituant Son peuple et le troupeau de Son pâturage. Ayant été rachetés à un grand prix, Il ne peut pas nous permettre de nous perdre à nouveau, en nous laissant retourner à notre ancienne vie. Néanmoins, le Seigneur nous laisse le libre arbitre de revenir de nous-mêmes et de confesser nos péchés.
Nos péchés nous éloignent de notre Dieu et si nous persistons dans cette lancée, nous risquons de nous perdre. Il faut donc revenir au Seigneur et confesser nos manquements.
Psaumes 32 : 3-5 (Louis Segond révisé): Tant que je me suis tu, mes os se consumaient, je gémissais toute la journée4 ; car nuit et jour ta main pesait sur moi, ma vigueur n’était plus que sécheresse, comme celle de l’été. Je t’ai fait connaitre mon péché, je n’ai pas couvert ma faute4 ; j’ai dit4 : je confesserai mes transgressions à l’Eternel ! Et Toi, Tu as enlevé la faute de mon péché.
Dans ce verset, nous voyons que lorsque David retenait ses péchés, il brûlait au fond de lui-même; il y avait un feu qui le dévorait de l’intérieur. C’est la même chose qui nous arrive quand nous refusons de confesser nos péchés à Dieu. Nous empêchons ainsi le Seigneur de nous communiquer Sa vie, nous Lui refusons de nous venir en aide.
S’il est nécessaire de reconnaître ses péchés, il est bien primordial de les confesser afin d’obtenir de l’aide de la part du Seigneur. Comment pourrait-on obtenir de l’aide pour un problème qu’on n’a pas exposé auparavant à celui qui peut nous aider ? Comment pourrait-on être pardonné si l’on ne confesse pas nos transgressions ? Nous voyons donc là la nécessité de confesser nos péchés afin d’obtenir le pardon de Dieu. Tant que nous refuserons de confesser nos péchés, nous retarderons la liberté, la paix et la joie gratuites que nous offre le Seigneur. Cela sous-entend que nous ne reconnaissons pas la puissance de l’œuvre de la croix de notre Sauveur Jésus-Christ.
1 Jean 1 :9-10 (Louis Segond révisé) : Si nous confessons nos péchés, Il est fidèle et juste pour nous pardonner nos péchés et nous purifier de toute injustice. Si nous disons que nous n’avons pas de péché, nous Le faisons menteur, et Sa Parole n’est pas en nous !
La confession nous libère, c’est le premier pas que nous posons lorsque nous voulons réellement servir le Seigneur. Lui est prêt à nous prendre tels que nous sommes et à faire de nous Ses enfants bien-aimés. Ce n’est donc pas la peine de porter un fardeau dont le prix a déjà été payé à la croix. Il vaut mieux confesser ses péchés et laisser Son Esprit nous guider !
2 Chroniques 7 : 14 (Louis Segond révisé): Si Mon peuple sur qui est invoqué Mon nom s’humilie, prie et recherche Ma face, s’il revient des ses mauvaises voies, Moi, Je l’écouterai des cieux, Je lui pardonnerai son péché et Je guérirai son pays.