Les hommes chrétiens, que peut-on dire sur eux ? Les idées reçues c’est un peu ce qu’une majorité de femmes se disent en les voyant. Finalement que se passe-t-il dans la tête des femmes ? Dans cet article nous allons rentrer dans les profondeurs des pensées féminines et nous rendre compte que nous pouvons nous tromper sur nos frères célibataires chrétiens.
1. Ne sont pas beaux.
Ce préjugé est souvent un comparatif aux stéréotypes montrés dans les téléfilms, les séries, les publicités, les magazines féminins. Car en comparaison, on peut trouver qu’ils ne font pas de superbes coupes de cheveux, ou qu’ils ne font pas de musculation, ne s’habillent pas à la mode. Il faut porter une attention particulière car le monde peut égarer nos pensées loin de la vision que détient Dieu sur la beauté.
Romains 12 : 2 (Darby) : « Et ne vous conformez pas à ce siècle ; mais soyez transformés par le renouvellement de votre entendement, pour que vous discerniez quelle est la volonté de Dieu, bonne et agréable et parfaite. »
2. Ne savent pas cuisiner.
Il y a des jeunes hommes célibataires qui non seulement savent cuisiner, dresser la table, mais qui de surcroît aiment cela. Et ils sont parfois bien meilleurs cuisiniers que certaines femmes. Ce ne sont pas tous les hommes célibataires qui ont la mentalité suivant laquelle seule la femme doit cuisiner. Il y en a qui ont pleinement conscience qu’il faut prendre soin de la femme et qu’elle n’est pas à utiliser comme une femme à tout faire, mais au contraire, qu’il faut en prendre soin comme d’un présent d’une grande valeur, cette valeur étant inestimable.
1 Pierre 3 : 7 (Darby) : « Pareillement, vous, maris, demeurez avec elles selon la connaissance, comme avec un vase plus faible, c’est-à-dire féminin, leur portant honneur comme étant aussi ensemble héritiers de la grâce de la vie, pour que vos prières ne soient pas interrompues. »
3. N’approchent une femme que parce qu’ils sont intéressé.
Il y a des jeunes gens qui apprécient des jeunes femmes sans pour autant avoir des arrières pensées. Il est possible d’avoir une amitié entre deux personnes de sexe opposé. Cette approche peut être mal interprétée parce qu’il y a des a priori fondés sur des suppositions. Parfois à cause de ces présupposés, le jeune qui avait de bonnes intentions comme faire ample connaissance ou encore accueillir la personne, peut se retrouver en difficulté à cause de cette idée reçue. Pire, cette jeune femme ayant des vues sur le frère et pensant qu’il vient l’aborder, peut dévoiler ses sentiments et faire fuir le frère qui lui ne venait pas en ce sens. Il est important de demander à Dieu le discernement.
4. Sont ennuyeux.
Dans la tête de quelques personnes, les hommes célibataires chrétiens, n’ont pas beaucoup de sujets de discussion mis à part la Parole de Dieu, la prière, le sport et leur travail. Le mythe peut rapidement se détruire lorsqu’on côtoie ces hommes chrétiens, jeunes ou moins jeunes, qui peuvent étonner par leur culture générale, les sujets qui les intéressent, leurs passions, leurs centres d’intérêts…
5. Ne peuvent pas servir Dieu.
Certaines églises locales empêchent certains services comme le pastorat, la prédication ou des responsabilités, à des frères sous prétexte qu’ils ne sont pas mariés. Lorsqu’on regarde la Bible, de nombreux jeunes hommes célibataires ont été utilisés par Dieu comme Jérémie, Samuel, Daniel, Joseph, David, Paul. Alors sur quelle base pouvons-nous dire qu’un homme célibataire, ne peut pas prendre de responsabilités ? Est-ce que cela vient de la Parole de Dieu, ou est-ce un raisonnement humain ?
Pour conclure, ce verset dans 2 Corinthiens 10 : 5 (Darby) dit ceci : « Détruisant les conseils, et toute hauteur qui s’élève contre la connaissance de Dieu, et amenant toute pensée prisonnière à l’obéissance de Christ ». Cela nous amène à orienter nos prières d’une façon à ne plus vivre dans le mensonge des préjugés mais à laisser le Saint-Esprit de Dieu nous montrer, nous révéler qui nous avons en face de nous, en faisant abstraction de tout ce que l’on peut entendre dire.
Je t’écris avec amour.
