Il y a certaines habitudes que nous entretenons, des états d’esprit qui nous paralysent et qui empêchent le développement de notre potentiel. On se plaint des autres, on désire qu’ils changent pour que nous soyons plus heureux alors qu’il suffirait de changer nous-mêmes nos pensées et nos habitudes pour que tout change. Dans cet article, nous parlerons de quatre choses à faire pour améliorer rapidement la qualité de sa vie.
1. Je cesse d’être négatif.
La négativité est avant tout le reflet de notre être intérieur: une personne qui rencontre fréquemment des combats, des troubles, peut devenir sujette au découragement et toujours envisager le pire. Avoir des pensées négatives ou défaitistes face à de tels challenges est normal. Cependant, les alimenter, les retenir voire les ruminer, diminue notre qualité de vie et envenime l’image que l’on a de soi-même.
La Bible nous invite à renouveler nos pensées (Romain12 : 2) et à marcher non selon nos sens, mais par la foi en Dieu (2 Corinthiens 5 :7). Dieu est avec nous et Il nous permet de surmonter tous les obstacles pour nous donner la victoire si nous gardons foi en Lui.
2. J’arrête de fréquenter les gens négatifs.
La Bible est consciente de l’influence de notre entourage dans le processus de réalisation. Elle nous fait cette mise en garde dans 1 Corinthiens 15 : 33 (LSG) « Ne vous y trompez pas: les mauvaises compagnies corrompent les bonnes mœurs. » Marcher avec des personnes négatives finira par nous rendre négatifs. Le contraire est tout aussi vrai.
Marcher avec des personnes positives nous rendra meilleurs. Quelle est la compétence que nous souhaitons développer ? Identifions les personnes qui les manifestent déjà et commençons à passer plus de temps avec elles. Cela peut se faire en lisant leurs œuvres ou en les rencontrant en présentiel. On ne choisit pas sa famille, mais on choisit ses fréquentations. Le choix t’appartient.
3. Je cesse de me plaindre.
Dans la racine du mot « murmurer », on trouve deux fois le mot « mur ». Murmurer, reviendrait donc à bâtir davantage de murs qui nous éloignent de la réalisation des bons desseins de Dieu pour nous.
Philippiens 2 : 14 (BDS) « Faites tout sans vous plaindre et sans discuter. »
Les plaintes ont trois niveaux de conséquences:
- Elles font s’élever en nous la colère et la dépression. Dieu veut que nous soyons plutôt habités de bons sentiments (Romains 12 : 18).
- Nos plaintes remettent en cause l’amour de Dieu, Son amour et Ses compétences: c’est comme si nous lui disions: « Seigneur, c’est Ta faute ! Tu pouvais satisfaire mes demandes et Tu as choisi de ne pas le faire ».
- Nos plaintes font du tort aux autres. Personne n’aime passer du temps avec des gens qui pleurnichent constamment. Ce que nous disons affecte ceux qui nous entourent. Se plaindre ne change rien et n’apporte rien. Mais se plaindre n’est pas inné, c’est arrivé « un jour ». Par la grâce de Dieu, tu peux devenir quelqu’un de reconnaissant !
4. Je cesse de m’inquiéter.
Matthieu 6 : 27 (BDS) « … qui de vous peut, à force d’inquiétude, prolonger son existence, ne serait-ce que de quelques instants ? »
Jésus, pendant le temps de Son ministère terrestre nous a montré ce qui devrait être l’attitude des enfants du Royaume de Dieu. Il ne s’est jamais inquiété au sujet du lieu où Il passerait la nuit, de ce qu’Il mangerait, ou comment allait se produire une guérison ou un miracle. Il n’avait qu’à ordonner ou rendre grâce pour que la chose arrive (Psaumes 33 : 9).
Jésus vivait avec la conscience d’abondance. Il était pleinement conscient de qui Il est, le Fils de Celui à qui appartiennent toutes choses. La Bible qualifie ceux qui végètent dans l’inquiétude de païens (Mathieu 6 : 32). Les fils ont accès aux ressources illimitées de Dieu. L’abondance du Père est leur partage. Le Père peut mieux prendre soin d’eux que le feraient leurs inquiétudes.
Lorsque nous nous inquiétons, nous détournons nos regards de Dieu, l’auteur de toutes choses, pour la porter sur l’objet de nos inquiétudes. Or si en contemplant Dieu, nous Lui ressemblons davantage (2 Corinthiens 3 : 18), de même en nous focalisant sur ce qui va mal, nous accentuons ces choses et leur donnons davantage de pouvoir pour exister.
Nos inquiétudes deviennent alors une sorte de culte idolâtre qui détourne notre attention de Dieu pour la porter sur la peur et le manque. Notre Dieu est un Dieu jaloux (Exode 34 : 14), Il veut être l’objet de toutes nos pensées. Il désire que notre cœur soit attaché à Lui seul et détaché de tout le reste.
Pour finir, retenons que la vie ne sera pas toujours un long fleuve tranquille. Nous n’avons pas toujours de pouvoir sur les circonstances, mais nous sommes le seul maître de notre être intérieur. Grâce au libre arbitre, nous avons le pouvoir de choisir la façon dont nous décidons de réagir face à ce qui nous arrive. Nous avons l’aptitude de choisir la bonne attitude qui nous donnera une plus grande altitude dans la vie. Le choix nous revient.
Que Dieu vous Bénisse ! Ce message m’a aidé à mieux comprendre ma vie et ma relations avec Dieu. Que la paix de Dieu repose sur vous malgré la pandémie !
« Dans la racine du mot « murmurer », on trouve deux fois le mot « mur ». Murmurer, reviendrait donc à bâtir davantage de murs qui nous éloignent de la réalisation des bons desseins de Dieu pour nous. » Gloire au Seigneur pour la vie de son serviteur! Merci pour cet article
Amen! Merci Arlette, que Sa grâce se repose sur toi aussi.