Proverbes 18.22 « Celui qui trouve une femme trouve le bonheur; C’est une grâce qu’il obtient de l’Eternel. »
Loin de moi l’idée d’ajouter de l’huile sur le feu déjà puissant du « Women Power », mais partant d’un constat: je note un déclin dans les mentalités. Les femmes se la jouent dures, fortes, inatteignables, mais au fond, elles manquent terriblement de confiance en elles, ou sont en dépendance affective. Pourquoi ? Je pense qu’elles ont oublié qui elles sont. Ou alors qu’elles ne l’ont jamais réellement su.
Genèse 2.18 « Le Seigneur Dieu se dit: « Il n’est pas bon que l’être humain soit seul. Je vais le secourir en lui faisant une sorte de partenaire. » Avec de la terre, le Seigneur façonna quantité d’animaux sauvages et d’oiseaux, et les conduisit à l’être humain pour voir comment celui-ci les nommerait. Chacun de ces animaux devait porter le nom que l’être humain lui donnerait. Celui-ci donna donc un nom aux animaux domestiques, aux animaux sauvages et aux oiseaux. Mais il ne trouva pas de partenaire capable de le secourir. » (Français Courant).
Ce verset est comme le refrain de tout célibataire en quête de compagnie : « Il n’est pas bon que l’homme soit seul » ! La version Louis Segond nous dit que Dieu voulait lui faire « une aide semblable à lui ». Mais je préfère cette version Français courant. La Bible nous dit que Dieu voulait « Secourir » l’homme. Et qui envoya-t-Il ? La Femme. Un secours implique évidemment un danger, le danger était de voir la vision de Dieu pour l’être humain échouer. Mais pourquoi a-t-il créé dès le départ un homme seul ? Et étrangement créé tous les animaux par paire ? Le plan de Dieu était logique. Aucun animal n’avait été créé à l’image et à la ressemblance de Dieu. Mais l’homme, oui. Or Dieu n’a ni femme, ni paire ou encore binôme. Dieu se suffit à Lui-même. L’homme, semblable à Dieu, n’avait donc pas besoin d’une aide, l’Esprit de Dieu en lui et tout était parfait et bon. Dieu n’avait cependant pas pris en compte une variable : l’homme n’est pas uniquement Esprit comme Lui-même. Cet homme est fait de corps et d’une âme, que la présence de Dieu n’a pas su combler entièrement. Alors vint la femme, comme la pièce manquante d’un puzzle. Vous connaissez l’expression « le meilleur pour la fin » ? Sans cette pièce, le plan de Dieu était voué à l’échec.
Proverbes 19.14 « On peut hériter de ses pères une maison et des richesses, Mais une femme intelligente est un don de l’Éternel ». (LSG)
La femme est l’aide, le secours de l’homme. Elle est un Don fait par Dieu à l’homme. Il aura beau être la tête, sans corps, il n’est rien. Mais le diable a également vu l’importance de la femme. C’est un fait établi que ce dont nous avons besoin, peut être utilisé contre nous. Si tu as besoin de manger, je peux utiliser la nourriture comme moyen de te faire faire ce que je veux. Et c’est exactement cela que le diable fait : il s’en prend aux femmes. Il a commencé avec Eve dans le jardin. L’objectif n’a jamais été de détruire Eve, il voulait détruire l’homme, mais ne pouvant le faire directement, il a alors appâté celle qui représentait le besoin de l’homme, certains diraient la faiblesse de l’homme.
Aujourd’hui, lorsqu’on entend parler de société hypersexualisée, on ne fait pas référence aux hommes. Et pourtant le sexe est commun à l’homme et à la femme. On fait référence aux femmes qui mettent aujourd’hui facilement à nu leurs corps. Mais aussi leur cœur. On dit que les hommes ne savent plus ce qu’ils veulent ou encore qu’ils sont immatures. La vérité, c’est que certaines femmes leur ont rendu la tâche facile en offrant sur un plateau aux hommes : sexe, affection et dépendance. L’homme s’est donc autorisé alors à jouer parce qu’il PEUT le faire. Et s’il pense ça, c’est parce que des femmes lui ont donné des raisons de penser que c’était possible.
Comme si le monde tournait à l’envers, l’homme qui doit chercher la femme parce qu’il en a besoin se retrouve à être courtisé de tous les bords par des femmes en quête d’affection. Pour que vous compreniez bien, c’est comme si des chercheurs de diamants n’avaient plus besoin de chercher parce que les diamants sortent eux-mêmes de terre pour se donner au chercheur. Ils perdent donc toute valeur, car le chercheur sait qu’il en trouvera d’autres. Si nos sœurs, nos mères avaient conscience de la valeur qu’elles ont, les hommes s’ajusteraient pour les avoir. Si l’impudicité est chose courante aujourd’hui, c’est parce que beaucoup de femmes se sont fait avoir.
La priorité doit être de servir Dieu, de marcher sur les pas de Christ et de se laisser équiper par le Saint-Esprit. Notre Dieu a béni les hommes avec vos vies. Vous êtes Notre bénédiction. Ce n’est pas l’inverse. Sœur, Maman, tu es la grâce de ton mari. Tu es une bénédiction pour ce monde. Cesse de t’inquiéter, et commence à marcher comme marche une bénédiction. Sois fière, et relève la tête. Dieu a fait de toi la pièce manquante de sa vie.
Ferme la porte de ton cœur au diable, ferme la porte à la peur de ne pas être aimée, d’être seule, ou de n’avoir jamais d’enfants. Aie foi en Dieu, car tu vis pour un but. Fais de Dieu ta priorité et Il te conduira vers un homme qui a fait de Dieu sa priorité. Mais ne t’inquiète de rien. « Si elle (la promesse) tarde, attends-la, Car elle s’accomplira, elle s’accomplira certainement » Habacuc 2.3 (LSG).